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UNITÉS PARACHUTISTES FRANÇAISES ACTUELLES 

Diaporamas de nos Frères disparus , double-cliquez sur les photos et faites défiler.

1° RCP​  (Prends garde aux rapaces qui fondent du ciel )​

Régiment de chasseurs parachutistes

Il est le plus ancien et le plus décoré des régiments parachutistes français.
Il est constitué en 1943 au Maroc.

Il se distingue lors des campagnes de libération de la France, d'Indochine et d'Algérie.
Ce régiment d'élite appartient actuellement à la 11e brigade parachutiste.
Le 1er RCP est le seul régiment parachutiste à conserver les traces de ses origines au sein de l'armée de l'air, ainsi qu'en témoignent les « charognards » placés sur les fourreaux d'épaule des uniformes et l'insigne, qui est celui de l'ancien 601e GIA (Groupement d'Infanterie de l'Air).
Le Brevet n° 1 : Le colonel Sauvagnac en a été le premier chef de corps

 

1er RPIMa​ ( Qui ose gagne )
 

​Le 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine est un régiment parachutiste des forces spéciales de l'armée française intégré au Commandement des Forces Spéciales Terre ( CFST)

Maintenant la tradition des unités de parachutistes SAS de la France libre et d'Indochine, ce régiment est la seule unité encore éxistante en métropole à utiliser la devise « Qui ose gagne » traduite de la devise des SAS britanniques « Who Dares Wins »

Sous l'impulsion du capitaine Georges Bergé, la 1re Compagnie de l'air est créé en Angleterre le 15 septembre 1940, après de nombreuses appellations durant les guerres d'Indochine et d'Algérie est renommé en 1962 1er RPIMa qui a la garde de l'emblème des SAS.

2°RPIMa (Ne pas subir )

​Le 2e régiment de parachutistes d'infanterie de marine
En 1947, 
le 2e bataillon colonial de commandos parachutistes (2eBCCP) part pour l'Indochine, où il combattra jusqu'en 1953.
En 1955, le régiment prend l'appellation de 2e Régiment de parachutistes coloniaux, en 1958 de 2e Régiment de parachutistes d'infanterie de marine. Le 5 novembre 1956 lors de la crise du canal de Suez, il saute en deux vagues à Port Saïd (Opération Mousquetaire) et il est cité à l'ordre de l'Armée.
En juillet 1961, il saute sur Bizerte.
Dissous le 5 juillet 1962, le 2e RPIMa est recréé le 1er janvier 1965 à Ivato (Madagascar) à partir du 5e bataillon parachutistes d'infanterie de marine.
Il rejoint La Réunion en 1973 .




 

3 °RPIMa ( Etre et durer )

Le 3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine
Il est l'héritier du 3e bataillon colonial de
​ commandos parachutistes créé en 1948 et du 3e régiment de parachutistes coloniaux. Le régiment appartient à la 11e brigade parachutiste.

Ils tirent leur origine de la 1re demi-brigade de commandos coloniaux de parachutistes, héritière elle-même des paras de la France libre, de la demi-brigade des SAS, du groupement des bataillons parachutistes de choc dont le drapeau a reçu la croix de la Légion d'honneur le 14 juillet 1954.

 

8°RPIMa  ( Volontaire )

Le 8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine a été créé le 28 février 1951 en Indochine, il s'appelait alors le 8​e BPC (Bataillon de parachutistes coloniaux)

Le régiment appartient à la 11e brigade parachutiste.

Le régiment tient actuellement garnison à Castres.


 

2° REP ( More Majorum )

 

Le 2e régiment étranger de parachutistes , seul régiment parachutiste de la Légion étrangère encore en activité, est l'un des quatre régiments d'infanterie

de la 11e brigade parachutiste.

Il est stationné au camp Raffalli à Calvi depuis son arrivée de Bou-Sfer (Algérie) en juin 1967.
Il est le seul régiment de la brigade à former lui-même son personnel aux techniques parachutistes grâce à son centre d'entraînement au saut, du moins jusqu'au niveau chef de groupe TAP.
 
Issu du 2e Bataillon étranger de parachutistes qui servit en Indochine, c'est le régiment qui s'illustra en Algérie et, plus proche de nous, à Kolwezi (Zaïre) lors de l'opération Bonite en 1978.

 

1° RHP (Si tout est perdu, souviens toi qu'il reste l'honneur à sauver)

 

Le 1er régiment de hussards est un régiment français de cavalerie légère constitué à la fin de l'Ancien Régime (1720)
Il est devenu en 1946 le 1er régiment de hussards parachutistes (ou 1er RHP).

De nos jours, le 1er RHP est le seul régiment blindé de la brigade parachutiste. On le surnomme ainsi "l'échelon blindé d'urgence".

Il accomplit au profit de la brigade parachutiste toutes les missions d’un régiment de cavalerie légère : reconnaissance au contact ou dans la profondeur, intervention antichar, sûreté des arrières ou des flancs. Son matériel peut être aérolargué, aéroporté ou transporté par toutes autres voies militaires.



 

35° RAP ( Droit devant )

 

Situé à Tarbes, le 35e régiment d'artillerie parachutiste est l'un des deux régiments de la ville avec le 1er régiment de hussards parachutistes.

Sa devise est : « Droit devant ».
Ce régiment est l'héritier du 35e régiment d'artillerie, créé à Vannes le 7 octobre 1873.

Il participe à la Première Guerre mondiale et en sort décoré de quatre citations à l'ordre de l'armée et de la fourragère aux couleurs de la médaille militaire.
Durant la campagne de 1940, il est presque entièrement détruit en couvrant le rembarquement des troupes alliées à Dunkerque.
Reconstitué après la Seconde Guerre mondiale, il s'implante à Tarbes en 1947 et devient régiment d'artillerie légère parachutiste (RALP).
Il est aujourd'hui le seul régiment parachutiste de l'artillerie.

1° RTP (Par le ciel, partout pour tous )

Le 1° Régiment du Train Parachutiste est le seul régiment de l'armée de terre spécialisé dans l'appui à la projection et le soutien par voie aérienne (aérotransport, aéroportage et aérolargage) ,c'est également le régiement des largueurs et chef largueurs personnels
 

il est stationné à Francazal, sur l'ancienne base aérienne 101 (BA 101), près de Toulouse.

Il fait partie de la 11e brigade parachutiste. Créé le 1er juillet 1999, le 1er régiment du train parachutiste est l'héritier des traditions des bases aéroportées d'Indochine et d'Afrique du Nord et du groupe de livraison par air n° 3.

13° RDP (Au delà du possible )

Le 13e régiment de dragons parachutistes ​est un régiment français constitué sous l'ancien Régime par le marquis de Barbezières au Languedoc en 1676, et formant actuellement une unité parachutiste.
Spécialisé dans le renseignement, il fait partie, depuis 2002 au Commandement des Forces Spéciales Terre (CFST) et dépend, pour emploi, du Chef d'état-major des armées et, par délégation, de la Direction du renseignement militaire (DRM) ou du Commandement des opérations spéciales (COS).

 Au "13", l'insigne régimentaire ne s'appelle pas la "pucelle" comme ailleurs mais " l'Impératrice" . Comme le régiment fut créé en 1676 sous le règne de Louis XIV, on retrouve le soleil, symbole de son règne. L'aigle impériale, fait rapport au 1er Empire et à la création du régiment des dragons de la Garde par Napoléon 1er et dont l'impératrice Joséphine fut la marraine. Les armes et la couronne de l'impératrice Eugénie de Montijo rappellent eux la création du régiment des dragons de la Garde Impériale sous le 2ème Empire par Napoléon III, qui lui donna officiellement le nom des Dragons de l'Impératrice, puisque Eugénie demanda à en être marraine.

De nos jours la Princesse Napoléon en est la marraine.

17° RGP ( Sapeur suis, Para demeure )

Le 17e régiment de génie parachutiste est situé à Montauban.
Il descend à l'origine du 17e régiment colonial du génie.


Il fait partie de la 11e brigade parachutiste et appartient au deuxième cercle des Forces spéciales.

Hautement qualifiée dans les domaines du déminage, de la dépollution et de l'aide au déploiement.


 

ETAP ( Par le ciel pour servir )

L'école des troupes aéroportées est un organisme chargé de former les parachutistes militaires des quatre composantes de l'armée française . Elle est la Maison Mère des parachutistes Français.​

Créée fin 1963 dans sa forme actuelle, elle est située au camp Zirnheld ( créateur de la Prière du Para) anciennement camp d'Astra .
Le Musée des Parachutistes est présent sur le site http://www.museedesparas.com/
L'ETAP était aussi le 3° RCP jusqu'en 1998 ( ancien régiment SAS du colonel Chateau-Jobert dit "Conan" dont la stèle est sur l'emplacement des promotions de parachutistes )​

Missions:
L’école assure la formation des parachutistes, encadrement et hommes du rang, mais également celle des largueurs de personnels. Les largueurs/arrimeurs de matériel (livraison par air) sont maintenant formés à Francazal au 1° RTP.

L’ETAP délivre les différents brevets de parachutisme militaire ( PMP et BPM) et dispense également des formations qualifiantes de spécialisation (moniteur, chuteur opérationnel et instructeur au saut à ouverture commandée retardée).
La formation du personnel d'encadrement des TAP ( chefs de groupe, chefs de section ,marquage de zone et largueurs opérationnels).
Ses autres missions sont la participation aux études et expérimentations parachutistes, la coopérations internationales et la promotions de la culture parachutistes. Elles est depuis peu passé du COFAT à la 11°BP.

 

Commando Jaubert ( Tue et prends la voile : devise commune)

Le Commando Jaubert est une unité des commandos de marine, héritière des unités de la France libre créées pendant la Seconde Guerre mondiale en Grande-Bretagne.

Il porte le n
om du capitaine de frégate François Jaubert, blessé mortellement le 25 janvier 1946 devant Tan Huyen (Cochinchine).
Le Commando Jaubert est basé à Lorient.


Titulaire de sept citations, dont trois par filiation, son fanion porte également les fourragères à la couleur du ruban de la légion d'honneur, aux couleurs du ruban de la médaille militaire, puis aux couleurs du ruban de la Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures et prochainement il est depuis peu décoré de la Croix de la Valeur Militaire (au titre de l'opération Pamir en Afghanistan).

C'est l'unité élémentaire (équivalent compagnie) la plus décorée de France.


 

Commando Trépel

Le Commando Trepel porte le nom du capitaine Trépel qui fut, avec Philippe Kieffer, un des créateurs des commandos, et qui disparut lors d'un raid

sur la côte hollandaise (à Wassenaar) en février 1944.

Basé à Lorient, ce commando est spécialisé dans l'assaut à la mer (extraction de personnes, assaut par embarcations d'un bâtiment en route libre, combat en milieu clos).

L'unité comprend en son sein une partie des membres de l'Escouade de Contre-terrorisme et de Libération d'Otages (ECTLO) (anciennement Groupe de Combat en Milieu Clos - GCMC), l'autre étant intégrée au sein du Commando Jaubert.


 

Commando De Penfentenyo

Le Commando de Penfentenyo est l'un des six commandos de marine de la Marine nationale française.
Il porte le nom de l'enseigne de vaisseau de Penfentenyo de Kervéréguen blessé mortellement le 12 février 1946, sur le Donaï en Indochine française.


Le commando de Penfentenyo est basé à Lorient. Il est spécialisé dans la reconnaissance de sites et d'installations maritimes et dans le renseignement tactique en vue de la préparation d'une opération (groupe palmeurs, collecte de l'information, infiltration et exfiltration de personnel, aérolargage à la mer sans recueil, appuis divers).


 

Commando Monfort

Le commando de Montfort porte le nom de l'enseigne de vaisseau Louis de Montfort, chef de section commando, mortellement blessé le 27 novembre 1946 lors des combats de Haïphong.


Basé à Lorient, le commando de Montfort est spécialisé dans l'appui et destruction à distance.

Dans ce cadre, il dispose de tireurs d’élite et de matériel lourd (mortiers, postes de tirs anti-chars,…) ainsi que de moyens de désignation et d'éclairage pour conduite d'appuie-feu aériens ou d'artillerie terrestre, qu'il peut mettre au profit des 5 autres Commandos de marine.




Commando Hubert

Ce commando est un commando-marine créé en décembre 1947.

Il porte le nom du lieutenant Augustin Hubert, tué au combat le 6 juin 1944 à Ouistreham.

À partir de 1953, il devient une unité de nageurs de combat et prend le nom de CASM (Commando d'Action Sous-Marine) Hubert.

Il est toujours la seule unité de nageurs de combat de la Marine nationale française (il existe également des nageurs de combat au sein du service action).

Les commandos Hubert sont installée sur la presqu'île de Saint-Mandrier, dans le département du Var

Commando Kieffer

Le commando Kieffer est le sixième et dernier Commando Marine (FORFUSCO)
 

Il porte le nom du commandant Kieffer, qui, pendant la Seconde Guerre mondiale, forma et dirigea les 177 commandos marine de la France libre lors du débarquement alliés en Normandie le 6 juin 1944.

La création de ce nouveau commando Kieffer a été annoncée le 8 mai 2008 par le président Nicolas Sarkozy.

À sa formation en 2008, le commando Kieffer comporte 45 hommes, dont des maîtres-chiens pour la recherche d’explosifs improvisés, des spécialistes des drones, de la guerre électronique, du déminage ou du combat en environnement NRBC (nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique). Il est basé à Lorient.
Commando Ponchardier

Le commando Ponchardier est crée sur le modèle des SAS britanniques le 1er Janvier 1945 et est le commando parachutiste de l'aéronautique navale. En février 46 il devient SAS B aux ordres du général Leclerc. Le bataillon, initialement destiné à intervenir en Indochine au sein du CLI (5e RIC) contre les Japonais, est engagé contre le Viet-Minh dans la région de Saigon de fin 1945 à mi-1946.

Le commando est recréé par décision du ministre de la Défense le 11 septembre 2015 après sa dissolution en 1946. Il porte le nom de l'amiral Pierre Ponchardier, son chef de corps lors de sa création initiale. Le Ponchardier avait son propre brevet parachutiste.

Il est actuellement le commando appui et soutien ( Commandement- 3D - Nautique et VHL tac de tous les autres commandos de la Marine Nationale

CPA 10 ( Sicut Aquila )

 

 

Le Commando Parachutiste de l'Air n° 10  est une unité de l'armée de l'Air, rattachée aux forces spéciales. Il est basé sur la base aérienne 123 Orléans-Bricy. Il a repris les traditions du 602° GIA

 

Le groupement des commandos parachutistes de l’air est créé en 1956, afin de compléter au sol l’action des moyens aériens.

 

Employé par le Commandement des Opérations Spéciales (COS)

 

Un stage initial très sévère appelé BELOUGA, permet aux nouveaux affectés d'acquérir les techniques de base et la connaissance des procédures spéciales.

 

 

CPA 30

 

Le commando parachutiste de l'air n° 30 
Il est implanté sur la base aérienne 106 de Bordeaux-Mérignac (Gironde).
 Il a été crée le 1er février 1994 à Bordeaux-Mérignac. 
Le 1er septembre 1999, le CA n° 30 est dissout pour prendre l’appellation de commando parachutiste de l'air n° 30 (CPA 30) qui reçoit à son tour son fanion le 1er octobre.

En 2019, le 30 passe Force Spéciale Air et déménage sur Bricy ( BA Orléans)

CPA 20

 

Le Commando Parachutiste de l'Air n°20 (CPA 20) est une unité de fusiliers commandos de l'Armée de l'air Française.

Il était implanté sur la Base aérienne 102 Dijon-Longvic "Capitaine Guynemer" depuis le 1er septembre 2008
. Puis le CPA 20 s'implante sur la BA 115 d'Orange (Quartier Geille)

EPIGN

L'Escadron parachutiste d'intervention de la Gendarmerie nationale était une unité d'élite créée en 1971, chargée de mener des missions parmi les plus sensibles et périlleuses de la Gendarmerie Française.


Le 1er septembre 2007, il permet la création du nouveau GIGN et par défaut de la force "Sécurité protection" et de la force "Observation recherche".
Le 1er janvier 1971, la Gendarmerie nationale crée sa première unité parachutiste à Mont-de-Marsan (Landes).

Baptisée "Escadron parachutiste de la Gendarmerie mobile" (EPGM), cette jeune unité fait rapidement honneur à son institution par un engagement dense et de qualité sur différents théâtres d'opérations extérieures au sein de la 11e division parachutiste.
Une nouvelle organisation du GSIGN groupement auquel appartenait l'EPIGN a vu la disparition de cette unité d'élite. La dissolution de l'EPIGN a été prononcée officiellement le 1er septembre 2007.

 

GIGN

Le Groupe d'intervention de la Gendarmerie nationale (GIGN) est une unité d'élite de la Gendarmerie nationale française spécialisée dans les opérations de contre-terrorisme et de libération d'otages. Sa devise est « Sauver des vies au mépris de la sienne».

Le GIGN est basé dans le quartier de Satory (Versailles), son centre d'instruction et d'entraînement se situant au camp de Frileuse à Beynes. Pour participer à la sélection, il faut déjà être gendarme de carrière et avoir moins de 32 ans.

Depuis le 1er septembre 2007, une profonde réorganisation a eu lieu. Le « nouveau » GIGN regroupe, sous le même nom, l'intégralité des hommes de l'ancien GSIGN

  Il est composé de quatre forces opérationnelles

1.            la Force Intervention (ancien GIGN),

2.            la Force Observation Recherche (ancien groupe d'observation-recherche de l'EPIGN),

3.            la Force Sécurité Protection (qui regroupe les membres de la section de sécurité et protection de l'EPIGN et du personnel du détachement gendarmerie du GSPR) ;

4.            la Force Appui Opérationnel, comprenant des moyens techniques et diverses compétences nécessaires aux autres forces     

   

 

 

 

 

 

RAID

Le RAID est une unité d'élite de la police nationale française. Le nom est choisi en référence au mot « raid » désignant un assaut militaire, mais a reçu par rétroacronymie le sens Recherche, assistance, intervention, dissuasion.

Fondé en 1985, par Robert Broussard et Ange Mancini notamment, l'unité participe sur l'ensemble du territoire national à la lutte contre toutes les formes de criminalité et de grand banditisme.

Placé sous l'autorité directe du directeur général de la police nationale, le RAID est appelé à intervenir à l'occasion d'événements graves, nécessitant l’utilisation de techniques et de moyens spécifiques pour neutraliser les individus dangereux, par la négociation ou l’intervention.

Son rôle est notamment d'agir dans les situations de crise, du type prise d'otages, retranchement de forcenés ou arrestation de malfaiteurs à haut risque, mais aussi de contribuer à la lutte antiterroriste en apportant son concours à l'Unité de coordination de la lutte anti-terroriste (UCLAT) et aux autres services spécialisés, afin de mener des opérations de filature, d'observation, de renseignement et d'arrestations d'individus ou de groupes susceptibles de se livrer à des actions terroristes sur le territoire français.

L'unité est basée à Bièvres, sur le domaine de Bel-Air, dans le département de l'Essonne. Sa devise est : « Servir sans faillir ».

11° CHOC ( Qui ose gagne ) ​

Le 11e Choc ou Service Action est une unité parachutiste d'élite de l'armée de terre française ayant connu plusieurs appellations au cours de son histoire. Bras armé des services de renseignement extérieur. Il est représenté par le CPES - Le CPIS et le CPEOM. Agissants sous le commandement du CIRP, lui même aux ordres de la DGSE. 

L'unité est célèbre aussi pour son insigne, la panthère Bagheera dessinée par le lieutenant Dupas.

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CNEC , 1° BATAILLON DE CHOC  (En pointe , toujours)

Créé en 1964, héritier du 1° Bataillon de Choc, le Centre National d'Entraînement Commando est un centre unique et spécialiste de la formation commando en France.

Avec le retour des troupes françaises d'Algérie, les méthodes d'instruction des Chocs sont reconnues pour leurs bienfaits en matière d'aguerrissement. Implanté à Mont-Louis et à Collioure, le CNEC forme les cadres de l'armée française mais reçoit également les forces spéciales et des stagiaires étrangers . Le programme s'articule autour des mêmes invariants: parcours d'audace individuels et collectifs, franchissements, mise en œuvre d'explosifs, combat au corps à corps, navigation, combat rapproché anti-char, etc...Durant l'hiver (à 1600 m d'altitude, Mont-Louis est la plus haute garnison de France), les moniteurs et instructeurs encadrent les "stages froids" : déplacements à ski, descente et peaux de phoque, bivouacs en igloo...

CFST

Le Commandement des Forces Spéciales Terre de Pau est composée d’unités parfaitement complémentaires, et agit dans l’ensemble du spectre des opérations spéciales.

Au regard de la nécessité d'offrir aux armées, dans le cadre des opérations spéciales, un ensemble de forces cohérent et performant, l'armée de Terre a décidé de concentrer en 1997 ses unités spéciales dans un unique réservoir de forces, la BFST en 2002 ouis CFST depuis juillet 2016. Ses moyens sont spécifiquement dédiés aux opérations spéciales et au renseignement stratégique.

Il s’agit pour le CFST de garantir à ses employeurs (COS et direction du renseignement militaire) l’accomplissement d’une double mission :
- sélectionner, former, équiper et entraîner les unités,
- participer aux engagements opérationnels.

 

Les 3 régiments de la brigade sont chacun dotés d’une expertise particulière :
- 13e RDP de Souge : recherche humaine et renseignement stratégique,
- 1er RPIMa de Bayonne : action spéciale,
- 4e RHFS de Pau : aérocombat des forces spéciales.

 

COS

Le commandement des opérations spéciales a pour objectif de fédérer les unités spéciales des trois armées ainsi que du GIGN qui en compose le 2° cercle. Ce commandement très " spécial" planifie, prépare et conduit les opérations .

Le COS a été crée en juin 1992 à la suite des opérations conduites pendant la guerre du Golfe. Placé sous les ordres du Chef d'Etat-major des Armées. 

L'EMCOS est à Balard depuis 2016.

11°BP

La 11e Brigade Parachutiste  est une unité à dominante infanterie, spécialisée dans le combat aéroporté et l'assaut par air. Sa vocation prioritaire est la projection dans l'urgence afin de fournir une première réponse à une situation de crise.

En 1956, sont créées les 10e et 25e Divisions Parachutistes, respectivement aux ordres des généraux Massu et Sauvagnac. Après s'être illustrées durant le conflit algérien, elles sont dissoutes en 1961 pour donner naissance à la division légère d'intervention.

En 1971, la 11e Division Parachutiste voit le jour à Toulouse. Lors de la restructuration des armées, celle-ci deviendra la 11e BP en 1999 à Balma.

Composition

- L'état-major de la 11e brigade parachutiste (11e BP) de Balma
- Le 1er régiment de chasseurs parachutistes
 (1er RCP) de Pamiers
- Le
1er régiment de hussards parachutistes (1er RHP) de Tarbes
- Le
1er régiment du train parachutiste (1er RTP) de Toulouse
- Le
17e régiment du génie parachutiste (17e RGP) de Montauban
- Le
2e régiment étranger de parachutistes (2e REP) de Calvi
- Le
3e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (3e RPIMa) de Carcassonne
- Le
8e régiment de parachutistes d'infanterie de marine (8e RPIMa) de Castres
- Le
35e régiment d'artillerie parachutiste (35e RAP) de Tarbes

- Ecole des Troupes Aéroportées (ETAP) de Pau - Lons

Effectif : 8 500 parachutistes

 

14 ème RISLP

Le Régiment d'Infanterie et de Soutien Logistique Parachutiste.

Après la révolution il prend le nom de 14 Régiment d’infanterie (de ligne) participe aux batailles de Rivoli, Austerlitz, Eylau, la conquête de l’Algérie en 1830 et la bataille de Crimée en 1881.

Le régiment est anéanti le 20 juin 1940. Encerclés, les derniers hommes du 14 brûlent leur drapeau pour ne pas le laisser aux mains de l’ennemi.

En 1945, le 14 renaît à partir des maquis de résistants toulousains et sera engagé quelques années plus tard en Afrique du nord,  au Maroc et en Tunisie . En Algérie, Le régiment qui porte alors le nom de 14ème Régiment de chasseurs parachutistes est dissout en 1961.

En 1977, le régiment devient le 14ème Régiment  Parachutiste de Commandement et de Soutien, il est dissout en 1999.

Il est recréé le 1er juillet 2018 sur la place du Capitole à Toulouse, sous l’appellation 14eRégiment d’Infanterie et de Soutien Logistique Parachutiste.

 

Mission

La mission du régiment est de soutenir le combattant partout où il est engagé. Pour cela, son personnel dispose de qualifications lui permettant d’agir dans différents domaines :

  • Traitement et approvisionnement de l’eau destinée à la consommation humaine.

  • Traitement des effets mortuaires.

  • Production boulangère en campagne

    • Gestion des vivres opérationnels

    • Expertise technique sur les matériels de protection balistique

    • Expertise technique sur les matériels de vie en campagne

CFIM - 6ème RPIMa

Le 6e RPIMa est un régiment de parachutiste créé à Quimper en 1948 sous le nom de 6e bataillon colonial de commandos parachutistes (6e BCCP).

Cette unité s'est particulièrement illustrée lors des guerres d'Indochine et d'Algérie.

Le régiment est dissous en 1998 à la suite de la professionnalisation des armées et de la suppression du service militaire obligatoire.

En 2019, le centre de formation initiale des militaires du rang (CFIM) de la 11e brigade parachutiste installé à Caylus, change d’appellation et devient le CFIM 11BP - 6e régiment de parachutistes d'infanterie de marine.

Morts TAP en service commandés ou pour la France en unité FS Helico

On ne peut rendre hommage au parachutistes tombés pour la France, sans parler de ceux qui sont membres des Forces Spéciales ALAT ou Air.

Le 4eme RHFS (ex DAOS) est le régiment d'hélicoptères des FST dédié aux opérations spéciales ALAT. 

L'EH 167 Pyrénées est l'escadron d'hélicoptères de l'armée de l'air, Initialement RESCo (CFA/BAAP). Il intègre les opérations spéciales en 2017 (COS/BFSA). Il a en son sein des personnels des 3 armées. 

Ces 2 unités FS hélicoptères comprennent quelques opérateurs parachutistes.

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