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Extrait du JO du 29/02/2012 : Article 2

Lorsque la mention "Mort pour la France " a été portée sur son acte de décès dans les conditions prévues à l'article L.488 du code des pensions militaires d'invalidité et des victimes de guerre, l'inscription du nom du défunt sur le monument aux morts de sa commune de naissance ou de dernière domiciliation ou sur une stèle placée dans l'environnement immédiat de ce monument est obligatoire.

La demande d'inscription est adressée au maire de la commune choisie par la famille ou, à défaut, par les autorités.
​​La stèle de Dien Bien Phu
"Pour rappeler nos morts . Tous ces sacrifices; il n'y a que ce monument. C'est un légionnaire, Rolf Rodel, qui seul l'a réalisé. Il y a travaillé des mois. Avant il n'y avait qu'une petite plaque ...rouillée. Le gouvernement français n'a rien fait...Alors que ces hommes tués,blessés,qui ont pourri dans les tranchées avant de crever, c'était pour servir la France. Et tout ces sacrifices qui n'ont jamais été reconnus. Pendant la bataille, on ne pouvait pas enterrer nos morts. Il y en avait trop. On avait pas le temps. On les poussait dans des fosses communes,parfois au bulldozer. Puis après ,il y a eu les camps viets. Des milliers de morts. La faim, la maladie... Et à notre retour, personne pour nous accueillir. On était des pestiférés. ..   Aujourd'hui, ici le gouvernement n'a toujours rien fait. C'est

 lamentable. Il faut le crier ! Je ne m'en priverai pas ...Rolf Rodel ,tu m'as fais chialer, merci !!!"

​29 juin 1994 . Dien Bien Phu. Général Marcel Bigeard.
 
​NB : En 1995, le président Chirac prit la décision de rembourser les frais engagés par Rolf Rodel . Ce monument devenant ainsi un monument de la République. 
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La stèle et les cendres du général Bigeard ( dep 11, 83 )

Le général Bigeard a désormais sa stèle à Carcassonne près de son régiment : Le 3°RPIMa (BPC). Son vœu, que ses cendres soient dispersées sur Dien Bien Phu ,afin de rejoindre ses camarades tombés au combat ,ne sera pas exhaussé, le gouvernement n'ayant pas fait suivre la demande aux instances du Vietnam. Sur proposition du ministre de la Défense, Gérard Longuet, il est d’abord envisagé de transférer les cendres du général Bigeard à l’hôtel des Invalides.
 
Après que certaines voix se soient élevées contre ce projet de transfert aux Invalides, le ministère de la Défense annonce le 29 septembre 2012 que les cendres du général Bigeard reposeront finalement sur le site du Mémorial des guerres en Indochine à Fréjus
 
Le 20 novembre 2012, en présence de l’ancien président Valery Giscard d'Estaing, le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian inaugure à Fréjus sur le site du Mémorial des Guerres en Indochine, une stèle qui accueille ses cendres.
Marcel Bigeard, né le 14 février 1916 à Toul et mort le 18 juin 2010 dans la même ville, est un militaire et homme politique français. Il a la singularité d’avoir été appelé sous les drapeaux comme homme du rang, 2e classe, en 1936 et d’avoir terminé sa carrière militaire en 1976 comme officier général  quatre étoiles (général de corps d’armée). Le général Bigeard a longtemps été le militaire français vivant le plus décoré. Ancien résistant, son nom reste associé aux guerres d'Indochine et d'Algérie. Une fondation portant son nom a été créée le 9 juin 2011.

 

 

Stèle Général BIGEARD à Carcassonne

Général Marcel Bigeard plaque du rond point à Aix en provence

La stèle du Drakkar à Idron (64)

 

A Beyrouth (Liban), le 23 octobre 1983, durant la guerre du Liban, deux attentats-suicides quasi-simultanés frappent les contingents américain et français de la Force multinationale de sécurité à Beyrouth. Ils sont revendiqués par le Hezbollah, ainsi que par le Mouvement de la révolution islamique libre puis par le Jihad Islamique.
 
À environ 6 h 18 UTC+2, un attentat au camion piégé touche le contingent américain basé à l'aéroport international de Beyrouth et cause la mort de 241 personnes. Environ deux minutes plus tard, cinquante-huit parachutistes français, de la force multinationale soit 55 parachutistes de la 3e compagnie du 1er RCP et 3 parachutistes du 9e RCP, trouvent la mort dans un attentat similaire : l''attentat du Drakkar entraîne la destruction de l'immeuble qu'ils occupent comme quartier général (surnommé "poste Drakkar", anciennement occupé par les services secrets syriens). Quinze autres sont blessés. Vingt-six militaires sont indemnes. La déflagration d'une charge de plusieurs tonnes d'explosif en serait la cause directe. La France et les États-Unis accusent le Hezbollah et l'Iran. Ces derniers démentent. À l'inverse, d'autres informations et témoignages laissent entendre que la destruction du poste Drakkar ne serait pas due à l'explosion d'un camion piégé.
L'attentat du Drakkar aurait été un acte de représailles à la livraison à l'Irak par la France d'avions de combat Super-Étendard équipés de missiles Exocet et accompagnés de pilotes instructeurs français. À l'origine secrète, cette vente aurait été rendue publique par une indiscrétion gouvernementale, ce qui aurait conduit l'Iran à se considérer en guerre avec la France.

Le capitaine Thomas Jacky
Le capitaine Ospital Guy
Le lieutenant Dejean de La Bâtie Antoine
Le sous-lieutenant Rigaud Alain
L'adjudant Bagnis Antoine
L'adjudant Moretto Michel
Le sergent Dalleau Christian
Le sergent Daube Vincent

Le sergent lebris Jean-Pierre
Le sergent Longle Yves
Le sergent Ollivier Gilles
Le caporal chef Bensaidane Djamel
Le caporal chef Beriot Laurent
Le caporal chef Carrara Vincent
Le caporal chef Duthilleul Louis
Le caporal chef Grelier Xavier
Le caporal chef Loitron Olivier
Le caporal chef Margot Franck
Le caporal chef Seriat Patrice
Le caporal chef Vieille Hervé
Le caporal Girardeau Patrice
Le caporal Hau Jacques
Le caporal Jacquet Laurent
Le caporal Lamothe Patrick
Le caporal Lepretre Dominique
Le caporal Leroux Olivier
Le caporal Muzeau Franck
Le caporal Thorel Laurent


 

Le para de 1re classe Gasseau Guy
Le para de 1re classe Gautret Remy
Le para de 1re classe Julio François
Le para de 1re classe Pradier Gilles​

Le para de 1re classe Tari Patrick
Le para de 1re classe Théophile Sylvestre
Le parachutiste Bachelerie Yannick
Le parachutiste Bardine Richard
Le parachutiste Caland Franck
Le parachutiste Chaise Jean-François
Le parachutiste Corvellec Jean
Le parachutiste Delaitre Jean Yves
Le parachutiste Deparis Thierry
Le parachutiste Di-Masso Thierry
Le parachutiste Durand Hervé
Le parachutiste Guillemet Romuald
Le parachutiste Kordec Jacques
Le parachutiste Lastella Victor
Le parachutiste Ledru Christian
Le parachutiste Levaast Patrick
Le parachutiste Leverger Hervé
Le parachutiste Meyer Jean-Pierre
Le parachutiste Porte Pascal
Le parachutiste Potencier Philippe
Le parachutiste Raoux François
Le parachutiste Renaud Raymond
Le parachutiste Renou Thierry
Le parachutiste Righi Bernard
Le parachutiste Schmitt Denis
Le parachutiste Sendra Jean
La femme et les enfants du concierge de l'immeuble

La stéle  Vandenberghe à Billère (64)

 

 
Roger Vandenberghe (27 octobre 1927 - 6 janvier 1952), ​
C'est l'un des sous-officiers de l'armée française les plus décorés, avec quinze citations et douze blessures, principalement gagnées pendant la guerre d'Indochine. Il mena un grand nombre d'opérations "coup de poing" de nuit derrière les lignes vietminh, à la tête de son commando de partisans vietnamiens surnommé "les tigres noirs". Il fut trahi et assassiné par un de ses hommes (ancien du Viet-minh) à l'âge de 24 ans.
« Que la France me donne cent Vandenberghe, et nous vaincrons le Viet-minh... »

 Général de Lattre de Tassigny

 

Roger Vandenberghe naît le 27 octobre 1927 à Paris. Son père invalide de guerre (gazé) d'origine belge, gravement atteint par la tuberculose et au chômage, doit partir peu de temps après dans un sanatorium pour se faire soigner. Sa mère, d'origine espagnole et de confession juive ce qui lui vaudra par la suite la déportation à Dachau où elle décèdera.  En 1935 ils sont confiés à deux familles de paysans béarnais du village d'Arthez pour aider aux champs tout en continuant à aller à l'école.
Il veut s'engager dans la résistance, mais malgré sa forte carrure il est refusé car trop jeune. Enfin, le 14 juillet 1944, à l'âge de 16 ans il rejoint le Corps franc Pommiès. Il s'illustre rapidement au sein de cette troupe qui est la première à rentrer en Alsace. Le 10 janvier 1945, à 17 ans, il est blessé par l'explosion d'une mine . Cette action lui vaut d'être cité à l'ordre du régiment. À la fin de la guerre, Vanden, comme on le surnomme dès lors, décide de rester dans l'armée. Nommé caporal en 1946, il se porte volontaire avec son frère pour l'Indochine et rejoint le 2e bataillon de marche du Corps expéditionnaire français en Extrême-Orient.

 

En 1947, il arrive à Tourane en Annam et tombe sous le charme de ce pays qu'il lui semble connaitre depuis toujours.
le 6 janvier 1948 son frère aîné est tué a Ha Dong lors d'un assaut ; ce deuil qui le prive de toute famille de sang sera probablement la principale source de sa motivation dans ses futurs combats.
Grièvement blessé en février 1949 alors qu'il est sergent et chef d'une section de partisans du 6e RIC il est fait Chevalier de la légion d'honneur a 21 ans. Après huit mois de convalescence il reprend son combat ; de nombreux fait d'armes sont accomplis, entre autres l'attaque de Ninh Binh pour récupérer le corps de Bernard de Lattre de Tassigny tué lors de la chute de son poste dans cette région dite des calcaires.
En se faisant passer pour prisonnier de ses propres hommes grimés en soldat du Viet-minh, il attaque un PC du Viet-minh qu'il investit après une pénétration de plusieurs Km en territoire non contrôlé. Il aura avec lui des hommes qui égaleront son courage et reconnaîtront sa valeur de chef et d'éminent stratège qui a su assimiler les tactiques de ses adversaires. Il avait parfaitement compris et imité la méthode communiste d'infiltration sur les arrières de l'adversaire, et avec une grande méticulosité il décuplait l'efficacité de ses coups de main.
Son commando no 24 tout de noir vêtu qu'il nommera par la suite Les Tigres Noirs, comprenait des partisans ainsi que des ralliés, peu nombreux au départ (environ 50); par la suite il en augmenta le nombre ce qui ne lui permit plus de suivre tout son monde et de s'assurer de la fiabilité de chacun.
Le 5 janvier 1952, le sous-lieutenant Nguien Tinh Khoï  le trahit et l'assassine pendant son sommeil, ainsi que le sergent Puel.
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HEROS​​​​​​​​​​​​​​​​​​​ : L'embuscade de la vallée d'Uzbin

 

 

C'est le parachutiste Le Pahun qui sera abattu le premier. Il était le voltigeur de pointe de la section. A 50 mètres du col, il est fauché par une rafale. Ses camarades de Carmin 3 retrouveront son corps à l'aube. C'est le début de furieux combats. Damien Buil, le chef de groupe qui est parti le chercher, revient en titubant. "Je suis touché au ventre", dit-il avant de tomber, à découvert, au milieu de la piste. Marchand, Darchy et Gros veulent à leur tour y aller. Soudain surgit un taliban. Darchy vide la moitié de son chargeur sur lui. Pendant ce temps, Marchand tire le blessé derrière le rocher où sont abrités ses camarades. Ils lui enlèvent son casque, son gilet pare-balles percé par les éclats, posent un pansement compressif. Damien veut vivre. Il résiste pour sa femme Aurore, enceinte d'un petit garçon, et pour Lilou, sa fillette de 2 ans et demi.
 
 Les talibans attendaient visiblement les Français. Oui, ils ont su quand ils ont quitté leur base de Tora, puis les ont vus venir de loin, entrer dans la vallée, progresser ensuite à pied vers eux. Ils disposent de fusils-mitrailleurs, de tireurs d'élite équipés de fusils Dragunov à lunette. Ils tirent d'abord sur les premiers éléments français. Ensuite, leurs snipers cherchent à éliminer le chef de la section, l'adjudant Gaëtan Evrard, blessé, et son radio, qui sera tué. Les talibans sont à cinq contre un. Les Français tentent de se regrouper pour se dégager du feu ennemi. Les avions et les hélicoptères américains arrivés un peu plus tard mitraillent les talibans qui essaient alors de s'imbriquer au milieu des Français. C'est presque du corps à corps. Un taliban surgit à 20 mètres de Dussat. Darchy lance une grenade et "sèche" l'insurgé. Au même moment, l'adjudant Evrard est touché à l'épaule. Ils sont quatre soldats à se serrer derrière un petit rocher. Le tireur d'élite Kevin Chassaing réussit à éliminer un sniper à 450 mètres. Mais les talibans ripostent, sautant de rocher en rocher. Alexis Taani, le radio, alterne bouche-à-bouche et massage cardiaque sur un blessé. Une balle lui traverse la main et frappe Buil, qui s'éteint peu après. Les talibans ont compris et concentrent leurs tirs sur ce petit groupe. L'adjudant Evrard est menacé. Taani se dresse devant lui pour faire écran. Des balles claquent dans son dos. Il vient de se sacrifier pour sauver son adjudant. Darchy et Chassaing le traînent sur la piste pendant que trois camarades vident leur dernier chargeur pour les couvrir. Le premier, Darchy, prend une balle dans le tibia. Chassaing tombe, touché à la cuisse. Un second projectile le frappe en pleine tête. Un taliban surgit devant Darchy. Il n'a plus que son pistolet automatique. C'est quitte ou double. A 20 mètres, il vide son chargeur. Le taliban s'effondre.
 
 Des soldats français se sacrifient pour sauver leurs camarades... Le caporal-chef Penon a le genou fracassé par une balle. Blessé, l'adjudant ne peut pas le porter. Il faut courir. L'infirmier préfère rester, lucide sur son état. Il sera découvert mort près du même rocher, après avoir épuisé ses munitions pour couvrir le départ de ses camarades. Plus loin, une balle percute le casque de Garabedian. Il est sonné mais Nicolas Grégoire l'entraîne vers un rocher. Soudain, un cri, une chute : le caporal-chef Grégoire est fauché à son tour. Garabedian se précipite sur lui et reçoit comme une immense claque dans le dos, qui le jette au sol. C'est une volée d'éclats, heureusement arrêtée par son gilet pare-balles. Plus loin, Paul, Hamada et Waetheane progressent accroupis. Une balle casse le bras d'Hamada. Waetheane est lui aussi touché. Il réussit à sauter un muret mais les impacts les poursuivent. Waetheane, touché une seconde fois, a la force de courir s'abriter derrière un rocher. Le groupe lui injecte une dose de morphine et lui fait un garrot. A côté se trouve Anthony Rivière, 22 ans, qui se plaint du ventre. Il n'y a pourtant ni sang ni impact sur son pare-balles. On découvrira que ce jeune Réunionnais a pris dans le tibia une balle qui est remontée jusqu'au foie, provoquant une hémorragie interne fatale. Hamada, lui, ne sent plus son bras droit, retourné dans son dos. Tout seul, il le ramène devant, récupère le garrot tourniquet dans sa trousse, le pose sur la blessure et serre avec les dents. Il renonce à la morphine pour ne pas s'endormir. Lui aussi veut vivre, par amour : sa femme est enceinte.
 
 Les parachutistes français sont parfois si près des talibans qu'ils les entendent parler. Oui, ils descendent de façon espacée et crient pour se parler. A un moment, Gros comprend qu'ils sont arrivés à hauteur du secteur où se trouvent les corps de Buil, Chassaing et Taani. Ils devinent que les talibans dépouillent leurs camarades, récupèrent leurs armes. Marchand les entend rire. Il imagine la curée. Pour lui, c'est trop. Il lance une première grenade défensive quadrillée, qui en couche quatre ou cinq. Du coup, c'est le silence. Il veut jeter la seconde mais, blessé au bras, n'arrive plus à la dégoupiller. Gros voit quatre talibans se redresser au moment de la première explosion. D'une rafale, il en tue deux. Deux autres se mettent à vociférer dans leur radio. Une nouvelle grenade ramène le silence. Il détecte un autre taliban sur la droite, tire, le blesse et en abat un troisième venu l'aider. Les paras ont su rendre coup pour coup pendant des heures.
 
 Au fil des heures, ils ont quand même le moral qui baisse. C'est sûr, mais sans perdre leurs moyens. Ils restent très solidaires. Ils se parlent beaucoup d'un rocher à l'autre. Bien entraînés, ils ont la foi et sont disciplinés. Lorsque le caporal-chef Marchand ne peut plus bouger, il demande à ses hommes d'aller chercher de l'aide. Lui attendra sur place. "Pas question, répondent ses hommes. On ne vous laisse pas." "Ça ne sert à rien", gueule Marchand en leur jetant un caillou. "C'est un ordre !" Les soldats obéissent. Marchand se retrouve seul. Trois talibans descendent dans sa direction. Waetheane, Paul et Garabedian sont couchés dans un talweg. Les insurgés passent sans les voir. Marchand serre plus fort sa grenade, sa dernière arme. Il ne bouge plus. Les talibans ne s'arrêtent pas, le croyant mort. Le caporal-chef hallucine : il pense voir le soleil monter, alors qu'il est en train de se coucher. Au bout d'une heure, il décide de descendre, à son rythme. Mais, juste un peu plus haut, un fusil-mitrailleur tire de courtes rafales pour bloquer le passage. La seule solution, c'est sa dernière grenade. Il se concentre, respire un grand coup, la dégoupille calmement et la lance au plus juste. Abasourdi par ses tirs, le taliban n'a pas entendu la cuillère sauter. Il disparaît dans l'explosion. La voie est libre. Soudain, un hélicoptère américain fonce droit sur lui. Il est à 10 mètres. Marchand croit qu'il va se faire buter pour ses camarades ! De son bras valide, il fait de grands gestes lents. Le pilote hésite, manœuvre un quart de tour à gauche et tire une salve de roquettes loin derrière le caporal-chef, qui entend des cris. L'hélicoptère vient de lui sauver la vie en anéantissant un nid d'insurgés. Il hurle sa rage de vivre et ne peut s'empêcher de crier aux talibans : "Bandes de chiens."
Une pensée particulière pour le 1° classe Melam Baouma du RMT qui a perdu la vie en allant chercher ses camarades morts au combat et dont la sépulture a été honteusement profanée en Nouvelle Calédonie.

 

Crash du CASA , le 17 décembre 2003

 

Ce jour là, le CASA 235 N°43 s'abîmait avec sept membres d'équipage à proximité du Pic du Pioulou sur le territoire de la commune de Suc et Sentenac, au cours d'une mission d'entraînement au saut.
 
Au moment de l'accident, sept personnes étaient à bord de l'appareil :

E.T. 01.62 Vercors Creil :
Cne. Charles Edouard BARDINET,
Asp. Mallory BERNARD, Adj. David ROUX

 

Les parachutistes de la S.T.A.T  Toulouse :
Adc Serge KACZALA, Cch. Mickael LARIVIERE,
Cch. Jérome GARCIA

C.I.E.T. 00.340 Toulouse :
Cne Aude TESSIER ép. LAPIERRE

La stèle mémorial des 543 "Morts au combat" du 8

Le mémorial du 1°RCP à Pamiers

La stèle mémorial du 1°RPIMa

            Stèle de Djibouti

Le 3 février 1982, la 4ème compagnie du 2ème REP est en mission de courte durée à Djibouti. La 2ème section au complet doit exécuter ce matin un exercice aéroporté. Le Nord-Atlas qui la transporte, gêné par un épais brouillard, percute la falaise à proximité du Mont-Garbi, à plus de 1600m d’altitude, au Nord Ouest du lac Assal. Il n’y a aucun survivant. Les 4 membres de l’équipage, les 3 largueurs, l’officier adjoint de la compagnie ainsi que 4 sous-officiers, 5 caporaux et 17 légionnaires de la deuxième section meurent dans le crash….. …. Appel des morts: 4e Cie du 2e REP : CNE PHILIPONNAT Eric / Adjoint au Cdt de compagnie SCH STORAI Georges / Chef de section SGT DORE Patrick / Chef de groupe SGT POMMIER Dominique/ Chef de groupe SGT WOUTIER André / Chef de groupe CPL OEHLMANN Gustaf / Légionnaire CPL OLETTA Albin / Légionnaire CPL PELTON Eddy / Légionnaire CPL SIMONET François / Légionnaire CPL BURGRAFF Adolph / Légionnaire 1°CL BEAUTEMPS Marc / Légionnaire 1°CL BETON Norbert / Légionnaire 1°CL KERTY Gallien/ Légionnaire 1°CL ZASSER Raymond / Légionnaire Leg BUZUT Muslum / Légionnaire Leg DEPIERRE Paul / Légionnaire Leg FALAUT Marc / Légionnaire Leg GALVES Fransisco / Légionnaire Leg GORDON Louis / Légionnaire Leg GUNES Yasar / Légionnaire Leg LEON Lawrence / Légionnaire Leg LIMA DA SILVA / Légionnaire Leg LUANG Eric / Légionnaire Leg SENDERS Jean / Légionnaire Leg THIU-SAM Jérôme / Légionnaire Leg VELMAR Maurice / Légionnaire 13eDBLE : CNE CHANSON Jacques / Officier d’etat-major / Officier TAP 13eDBLE CPL LAURIOL Guy / Légionnaire Armée de l’air / ETOM 188: CDT DALMASSO Henry /Pilote CNE COUILLAUT Jean / Co-Pilote CNE TADDEI Fabien / Navigateur CNE DEMANGE Jean Michel / Observateur ADC DAENINCKX Gérard / Mécanicien EMIA / FFDJ : CNE DROULLE Robert / Officier d’etat-major Commando Jaubert : Maître GLOANEC Jacky

Le PèreLALLEMAND priant pour les disparus.

Stèle du Mali

La Chapelle de la RC4

Lang Son - Vietnam

Projet de restauration de la chapelle mythique et historique de Thât Khê; en mémoire de la bataille de la RC4, Route Coloniale 4, "la route sanglante", en octobre 1950. Il y eut plus de 5 000 morts Français !

Vous pouvez faire un don à l'ordre de: 
VIETNAM ESPERANCE 
en notant au dos du chèque: don pour la chapelle de Thât Khê.
Vous l'envoyez à mon adresse postale: 
Thierry SERVOT-VIGUIER "Vietnam Espérance" 
2 bât B Chemin Vert 
69160 Tassin la Demi Lune - France
Vous recevrez votre reçu fiscal déductible (66%) en février.

 

Stèle "Promotion Général KOENIG"

Dans le cadre de leur formation, les élèves de l'école militaire interarmes doivent effectuer six sauts réglementaires afin d'obtenir leur brevet de parachutiste. Le 30 juillet 1971 à 14 heures 54, la 10ème promotion "GÉNÉRAL KŒNIG" (EMIA 1970-1971) perdait 23 élèves officiers, accompagnés de 2 officiers et 9 sous-officiers de l'encadrement des écoles de Coëtquidan et de 3 membres d'équipage, dans l'accident aérien d'un Noratlas, l'avion NORD 2501, F-BABB N°49.
le 30 juin 1972,  le Général de Boissieu, Chef d'Etat-Major de l'Armée de Terre, inaugurait à Coëtquidan la stèle érigée à la mémoire des disparus. Les 37 militaires victimes de l'accident, morts en service aérien commandé, ont été cités à l'ordre de l'armée à titre posthume.

Stèle du 13e RDP

Stèle du CPA 10

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